Il n'est pas rare qu'en essayant de traduire ma pensée j'ai l'impression de la trahir.
J’ai souvent l’impression, non sans éprouver un certain vertige, de faire semblant de vivre au milieu de mes semblables.
J'enrage de voir que l'homme préfère être collectivement asservi plutôt qu'individuellement libre.
Qu’importent les tracas de la vie quotidienne pourvu qu’on ait l’ivresse de l’existence.
Le côté tragique de l’existence vient du fait qu’une fois né, il faut vivre. Or, je déteste les obligations.
Pour apprécier pleinement Noël, il faut être un enfant ou bien aimer faire des cadeaux.
Le point commun entre une console de jeux et une paire de seins ? conçus pour les enfants, ce sont les hommes qui en profitent le plus.
On allume la télévision comme on ouvre le frigo, sans réfléchir. Et on ne l’éteint pas avant d’avoir consommé une connerie.
Les raisons, de nos jours, de perdre la raison sont innombrables. Raison de plus pour rester déraisonnable.
Si l’on n’y prend garde, la vie peut devenir cruelle. Il faut savoir résister aux fâcheuses et fâcheux qui tentent régulièrement de vous pourrir l’existence.
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